Les jeunes ont été formidables et leurs écrits pour présenter leur commune respective ont dépassé tout ce qui avait été escompté. Il fut finalement impossible de les réunir ensemble, ne serait-ce que pour la photo de groupe. Détail.

Le challenge dans cette histoire a d’abord été de les dénicher car je ne connaissais pour certains d'eux que leur existence, d'autres même pas. Tanguy, Sara, Luc, Valentin, Nathalie, Séverine et Sophie furent ceux qui mirent la main à la pâte, tout de suite intéressés par l'idée. Or, j’ai appris à en connaître d’autres entre-temps qui auraient très bien pu, si le hasard des choses l’eût voulu ainsi, s’y coller à leur place.

Ces jeunes ont eu l’immense mérite de trouver le temps de se consacrer à un exercice qui n’est pas le leur à des périodes de vie parfois agitées entre déménagements et nouvelles vies professionnelles. Ils sont néanmoins chacun parvenu au bout de l’exercice. Et chacun à leur façon. Ces jeunes-là sont des personnes de parole [de caractère…]. L’avenir d’Anniviers n’a avec eux absolument rien à craindre.

MERCI!

Au beau milieu du parcours, l’immoblog a soudain réalisé que cette couverture des événements d’actu dans notre vallée était entrain d’intéresser beaucoup d’entre nous. Ça a commencé par des remarques glissées dans les conversations, parfois même de tirades entières de billets qui avaient été lues me revenaient sous forme de boutade ou d’éléments de discussion. Puis, ces remarques se sont bel et bien vérifiées dans les chiffres statistiques de consultation. En terme de nombre de visiteurs par jours, de pages consultées, du temps passé sur ces dernières ainsi que la moyenne d’entre elles consultées lors d’une visite, des billets les plus lus, etc.

Durant ce mois et demie de campagne, vous m’avez tout simplement fait exploser la baraque!

Avec des chiffres de visites jusque là jamais égalés durant les journées de vote. A 12 «voix» près, on a frôlé les 400 visites le jour de l’élection, puis - à 2 «voix» près en moins [tiens, on a déjà entendu cela quelque part…] - le record de la veille. Ce jour-là, ce furent 1’143 pages consultées de l’immoblog. En clair, c’est 2 fois plus que la moyenne approximative habituelle.

D’ailleurs, si les statistiques de visites se tiennent régulièrement à 150-200 visites par jour ou environ 6’000 visites par mois (et environ 12-13’000 pages vues par mois), le dernier mois de campagne - 15 septembre / 15 octobre - a comptabilisé 7’500 visites et plus de 23’000 pages consultées! Enfin… je veux pas vous bassiner de chiffres, mais cette campagne a offert à l’immoblog de se faire mieux connaître sur ses propres terres. Une très grande fierté. Sachez par ailleurs, puisque la formule - si elle est exigeante - n’en est pas moins gratifiante, que synergies seraient volontiers trouvées ailleurs pour tisser un réseau au sein de toute la vallée.

Pour la petite histoire, on n'est pas si surpris de certains résultats des urnes. PDC mis à part qui est arrivé plus tard sur nos pages et sous une formule qui ne permet pas de tirer des conclusions fiables, c’est surtout du côté des radicaux que la tendance de «clics» s’est vérifiée. Marco Genoud a en effet largement battu tous les candidats, tandis que d’autres ont eu bien de la peine a sortir la tête de l’eau. Mais bien sûr, ce type de constatation ne s’arroge pas le titre de sondage consultatif valable qu'on laisse pour l'heure volontiers aux états-uniens. Mais cette piste donne des idées à l’immoblog pour mesurer l’intérêt des votes lors de l’élection à la prochaine législature… :lamp:

Last but not least. Le thème des élections peut parfois relever du domaine de haute sensibilité. En balançant [ou non] sur le net certaines informations - bien qu'en évitant jusqu'au moindre mot les écueils en forme de peau de banane, voir certains billets..., j'ai craint chaque jour des commentaires pourfendeurs. D'autant plus que dans la rue, les partis et les bistrots, les répliques assassines n'ont pas manqué. Mais jamais le ton n'a dérapé. L'immoblog vous en remercie infiniment. (coeur)


PS. Le temps qu'il fait en ce moment en Anniviers:

Zou, filez dehors, maintenant!