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Vie au village - février 2007 - L'immoblog ou les vacances à la montagne

L'immoblog ou les vacances à la montagne

Immobilia-Grimentz

vendredi 23 février 2007

Carnaval

Nous avons passé cette semaine de fort beaux jours. Un temps éclatant de soleil, une neige poudreuse à souhait depuis Bendolla et des températures à ne pas effrayer les plus frileux d'entre vous. Dans ces conditions, l'ambiance est détendue car elles sont vraiment remplies pour satisfaire les plus morveux - pas d'entre vous, bien sûr. Voici pour notre bon plaisir un charmant portrait de la buvette d'Orzival, image d'Epinal qui ferait sans complexe la une de nos brochures.

La semaine de Carnaval qui vient de s'écouler, c'est une somme de manifestations et d'activités auxquelles il nous est pourtant impossible de participer pour vous en parler ici. Peut-être dans une autre vie... En vrac: concerts, animations de guggen sur les pistes et dans le village, animations maquillages pour enfants, descente aux flambeaux pour toute la famille, gala des vins pour les grands et ce soir, même, une bataille de boule de neiges version professionnelle et compétitive avec gradins et projecteurs. A découvrir.

De plus, beaucoup de bonne humeur et d'initiatives personnelles pour amuser la galerie.

En vrac encore, mais en images:




Le temps de Carême a désormais débuté pour 40 jours - y paraît... - (en espérant que le curé de notre paroisse ne lise jamais ce petit apparté ;-). Chaque vendredi jusqu'à Pâques, nous entendrons sonner les cloches des vêpres à 15 heures de l'après-midi, mais nous y reviendrons dans un autre message.

La semaine de carnaval s'achève donc sous un ciel d'étoiles à peine voilé. Le temps devrait tourner. Les vacanciers ont déjà entamé leur chassé-croisé. Premiers départs ce matin déjà, grosse foule à nos guichets cet après-midi dans cette perspective pas très réjouissante pour la très grande majorité d'entre eux.

Quant à nous, nous entamons demain une journée... une journée... enfin... une journée... je vous la décrirai. Vous nous aiderez ainsi à la qualifier. Bonne soirée!

dimanche 18 février 2007

L'avalanche

Si Jacques Perroux a écrit "La crevasse", André Besson "Le village englouti" ou Maurice Zermatten "La porte blanche", combien de guides n'ont pas écrit "L'avalanche"! Notre guide et cousin Guy, de la vallée, a malheureusement vécu ce drame à 2 ou 3 reprises. S'il en a réchappé? Parce que ce n'était pas lui qui en faisait les frais, mais un de ses clients... Et si on s'en rappelle encore dans nos mémoires collectives? Parce que son client y est définitivement resté.

(Long silence)

C'est ainsi que, chaque année, la neige se saisit de son quota de victimes. Elle donne tout d'un côté: de la "chatoyance", de la douceur, de la clarté, de la fraîcheur, de l'insouciance et de la liberté. Elle reprend tout de l'autre côté: la vie. Comme si elle devait sans cesse rééquilibrer sa balance, incapable de n'offrir que générosité et bonheur. Mais la neige n'est que l'instrument de vie ou de mort de la montagne, comme l'eau ou les rochers.

La journée de vendredi avait pourtant admirablement bien commencé. Beau temps belle neige, selon la formule consacrée. Et pourtant, dès la fin de l'après-midi, nous pouvions lire ce type de dépêche sur les sites de nos quotidiens:

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mardi 13 février 2007

Et voilà!

Voilà, je crois que cette fois, nous sommes bons pour quelques jours au moins. Danielle, dans son très pertinent commentaire du post précédent n'a pas précisé s'il a aussi bien neigé du côté de Crans-Montana. Là, je pense qu'on a de quoi partager. Quant à Stéphanie, Greg et tous les autres, soyez rassurés pour vos vacances de ski!

Voici donc chacun des côtés de l'agence ce matin. Je vous laisse apprécier.

Côté village (ouest)

Côté église (sud)

Côté vallée (est)

C'est tout blanc...

lundi 12 février 2007

Le ciel nous tomberait-il enfin sur la tête?

Sybille, Grégoire, Stéphanie, Danielle et tous les autres,

C'est trop beau, il est entrain de neiger à gros flocons! Nous avons ce matin une dizaine de centimètres au village pour le moment et les webcams des pistes se sont perdues sous les flocons. D'épais nuages sur nos têtes nous laissent présager du meilleur.

Petit feed back plus tard dans la journée. Pour le moment, je vous laisse apprécier l'illustration et les images auxquelles elle mène si vous cliquez dessus.

A+ et bonne journée

12h54. Y pleut, y neige. Le temps brasse de l'air. Vraiment.



Euh... si on n'a pas le mètre de neige après ça!

dimanche 11 février 2007

Jour de pleine lune, suite et fin de ce fameux vendredi 02 février 2007

Tout avait pourtant bien commencé.

Arrivée à la télécabine peu avant 18h30, l'aire de départ était pleine de monde. Peu surprenant. Ce type de soirée rencontre depuis des années un immense succès. L'attente à la caisse s'est vite muée en instant de causette avec un compagnon d'attente au visage connu. L'ambiance était détendue, mais paraissait feutrée. Un sentiment d'insolite devait habiter les esprits des touristes comme le mien. Il est en effet peu courant de prendre la cabine pour s'enfoncer au milieu de la nuit dans le silence, de s'échapper des lumières de la civilisation. Le strict contrôle de sécurité des remontées mécaniques en rajoutait encore à la solennité du moment, au tourniquet. D'aucun en attraperait la chair de poule. Et... si la cabine, en ce soir de pleine lune, se voyait attaquée par le loup-garou? Au beau milieu de son parcours, là ou elle frôlerait presque le sol! Quelqu'un pour voler à notre secours? Que nenni! On ne s'en rendrait compte que bien plus tard. Trop tard.

Parfois presque en chuchotant, des grappes de personnes se pelotonnent dans leur abri. D'autre fois, des groupes, ravis de l'aubaine, s'y engagent à grand renfort de cris de joie et de gesticulations. Ces derniers, convenez-en, ne penseront pas une seconde au loup-garou, sûr!

Au restaurant, même ambiance, bien que les discussions allaient bon train de table en table et que les gens s'interpellaient gaiement. A la cuisine, il y avait des caquelons à fondue partout, partout, partout et le service se hâtait dans tous les sens et dans la bonne humeur pour placer ou servir les gens. La fondue fut excellente, un honneur dont ne se dépare apparemment jamais notre restaurant d'altitude (non, ceci n'est pas un encart publicitaire, foi d'Immobilia). C'est à la fin du repas que tout s'est gâté. Les estomacs repus, les esprits échauffés par l'alcool, fatigués par une semaine ardue (si vous y voyez d'autres raisons pour justifier le carnage général qui va suivre), la tension a fini par se relâcher... complètement! Et dans cette sordide histoire, le malheur du restaurant, c'est de vouloir faire les choses en règle pour un bon repas digne de ce nom et d'avoir disposé des sets de table à toutes les places.

Et voici comment se sont terminés ces moments à la lueur des lampes électriques:



Avouez que c'est consternant. Des dames bien mises, des messieurs tout sérieux, des enfants de bonnes familles se découvrant tout à coup fanatiques d'aviation. Bref, ça ne volait plus très haut. Ce doit assurément être l'effet de la pleine lune.

Mais ça rigolait.

Puis vint le départ tant attendu. Chacun y allait de son truc pour se préparer. Qui de la crème lunaire ou des lunettes lunaires, ça rigolait. Dehors, il s'agissait d'établir quelques points de repères pour discerner les personnes qui font partie d'un même groupe, histoire de ne pas se perdre inutilement. Il n'avait pourtant pas été si malaisé de retrouver ses skis. Le court trajet pour rejoindre le télésiège des Grands-Plans, la stricte ordonnance de la file d'attente avant de l'atteindre finirent par rassurer tout le monde. La lune est si claire qu'elle permet une vision très nette à travers la nuit.

Les températures restaient étonnamment douces pour un début février. La montée nous paraissait complètement surréaliste et le ballet des ratraks sur le versant des Becs de Bosson nous offrait une image de feux follets de la montagne magique. La continutation en solitaire du téléski de l'Orzival finit de pénétrer les derniers irréductibles aux charmes de la lune et le spectacle qui s'offre aux yeux des skieurs en arrivant au sommet du panorama se passe tout simplement de description.

Un petit coucou à nos amis de la Noble, en face (photo), avec vue sur Crans-Montana et les pistes éclairées du vendredi soir et c'est alors que s'amorce la descente, ce qu'il reste à faire lorsqu'on a atteint les étoiles. La descente est ensuite un pur délice. Peut-être avons-nous été précédés par quelques skieurs, mais cela ne se remarque qu'à peine tant l'impression de voler sur un nuage de ouate vous saisit de la tête aux pieds. Ou plutôt, des pieds à la tête. Et cette obscurité environnante qui vous emporte dans un tourbillon d'irréalité. Suis-je bien entrain de vivre ce que je suis entrain de vivre? Ou ai-je trop bu?. Une frayeur tout à coup! Un objet non identifié s'en vient à toute vitesse à ma rencontre! Freinage d'urgence. L'objet continue son chemin. Pfffff! J'ai eu chaud car je ne m'étais pas rendue compte que l'ombre d'un siège, suspendu à son câble s'avançait à quelques pas de moi. Dans la nuit, impossible de donner une consistance aux ombres et, bien qu'elle fut absolument plate, je l'ai crue un instant menaçante.

Notre petite équipe se retrouvait donc à chaque arrêt au complet, chaque fois plus saisie par le bonheur de planer sur une telle qualité de neige, avec si peu de monde et dans une clareté si diaphane. Au fur et à mesure de notre progression, notre joie se teintait pourtant de nostalgie car les lueurs du village se rapprochaient à trop grande vitesse. Le bonheur allait prendre fin et nous tramions déjà de nous la refaire en rejoignant les sommets par nos propres moyens s'il le fallait. C'est avec les joues en feu et les paupières tombantes que nous nous sommes quittés, dans le silence de la nuit.

Tout s'est donc très bien terminé.

jeudi 8 février 2007

Beaux flocons, magnifiques flocons!

Il floconne joli, mais sera-ce suffisant?

Une grosse déflagration a retenti, il y a un moment. Impressionnant. Peu habituel. La seule piste que nous ayons sur le sujet est un minage simultané sur les 2 versants de Grimentz et Zinal, mais elle reste boîteuse à mon sens. Fameux timing, si ce devait être le cas. Le village n'a - et pour cause! - pas été détruit par une avalanche, en tout cas;-) Nous espérons que ce ne soit rien de grave.

19h00 le même jour

Il a neigé environ 2 heures, ce matin. Pas de couac fouetter un bonhomme de neige.

La déflagration de ce matin a été suivi d'une seconde en pleine heure de sieste (pour certains). Renseignements pris, il s'agissait bien d'avions supersoniques. Pour avoir vécu l'événement il y a quelques années à Sion, capitale du Valais, l'éventualité paraissait plus que plausible. Sauf qu'à Sion, les commerces des environs de la gare ont vu leur baies vitrées voler en éclat. M'enfin, on en a pas été loin en tout cas. Tout a vibré si fort. Pour la 2ème déflagration, nous étions dans la rue et c'était comme un souffle qui nous traversait tout le corps. N'essayons par conséquent même pas d'imaginer une bombe qui explose en pleine guerre. Ou en plein film d'action.

Ces 2 déflagrations me turlupinaient. J'ai donc été cherché quelques réponses auprès de notre copain Thierry, fervent adorateur de Grimentz et pilote professionnel chevronné.

Les avions supersoniques ne dépassent le mur du son qu'à partir de 10'000 mètre d'altitude (mètres ou pieds, j'ai un doute tout à coup en écrivant un chiffre aussi énorme car à 10'000 mètres, on est déjà dans la stratosphère, non?). Par mesure de sécurité? Est-ce que la force de frottement des objets y est réduite? Quand on commence à y réfléchir, de nombreuses questions surgissent dans les esprits. Petit tour donc sur Wikipédia (Wiki pour les intimes) à la page Mur du son où on y apprend tout ce qui tourne autour du phénomène.

A savoir pourquoi la chose s'est répétée en début d'après-midi alors que la première onde de choc avait été si violente, Thierry m'a répondu que l'effet n'est jamais vraiment identique. Selon les conditions météo, de nuages ou d'humidité, le bruit est parfois amplifié ou carrément étouffé. Wiki nous explique :
En altitude, deux phénomènes se combinent : d'une part, l'énergie de l'onde est conservée dans le cône de choc, et donc se dilue quand ce cône s'élargit : elle est inversement proportionnelle à la distance de la source d'origine (ou au rayon du cône). D'autre part, l'atmosphère n'étant pas homogène, il y a des phénomènes de réfraction (exactement comme des mirages) qui font que l'énergie du choc tend à se dissiper vers le haut.

Du coup, les supersoniques en altitude ne s'entendent pratiquement pas au sol; il faut un passage à basse altitude pour que le « bang » supersonique ait un effet quelconque.


La dernière phrase nous laisse songeurs, mais Thierry nous rassure sur les normes de sécurité établies par les forces aériennes suisses, tout en précisant qu'en cas de dégâts, comme ce fut le cas à Sion il y a quelques années, ces mêmes forces aériennes sont malgré tout assurées par un fond servant à couvrir les dommages éventuels. Bref, éludons, si vous le voulez bien car le sujet est épineux.

Toujours est-il qu'apparemment personne n'a réclamé la première fois et que l'armée a continué en tout impunité (ici, j'ironise) ou plutôt en toute ignorance des répercussions.

Et les avalanches, dans tout ça?? Ben oui, dans les Alpes au beau milieu de l'hiver... bien que nous ayons connu meilleures conditions de neige. Si tel devait effectivement être le cas, il est des instances dûment dotées des pouvoirs adéquats pour empêcher tout vol supersonique. On se rappelle les hélicoptères qui n'osaient rallier Loèche-les-Bains, ce fameux hiver de 1999, au risque de voir des pentes entières dévaler sur le bas du village. C'est pourtant ce qui a fini par se produire, mais ceci est une autre histoire.

Bref. Nous voilà donc rassurés quant aux intentions non violentes de notre Confédération. Peut-être saurez-vous amener des éléments complémentaires passionnants sur le sujet par commentaires interposés? Peut-être établirez-vous d'autres bases de réflexion?

Quant à moi, je profite perfidieusement de l'occasion pour rappeler à notre copain pilote qu'on attend toujours avec impatience de le retrouver à l'aérodrome de Sion afin d'expérimenter le tout, qui sait? La suite du reportage serait superbe :-)

vendredi 2 février 2007

Le Démon de la pleine lune

Aujourd'hui, jour de pleine lune. Au programme, la journée doit se terminer par une fondue-lune, soit une fondue au restaurant d'altitude à Bendolla, ce soir, puis une montée des pistes jusqu'au sommet de l'Orzival à la lumière de la pleine lune.

Aujourd'hui, jour de pleine lune. Un coup de fil à 07h07 ce matin alors que mes paupières ne se décidaient que difficilement à s'ouvrir. Cet événement n'était pas vraiment au programme.

C'était le moment. Après des jours de retard et des fausses alertes, la vache allait enfin mettre bas. Enfin, nous l'espérions. Dans les tremblements de la précipitation, j'ai saisi au vol chaussettes et sous-vêtements dans le panier à linge sale (inutile de faire mieux pour la circonstance), récupéré les vêtements et chaussures prêts pour l'emploi sur le balcon, attrapé appareil-photos et clés au vol. Il m'a tout juste fallu une dizaine de minutes pour rejoindre l'étable. Un exploit à relever!

Et l'attente a commencé dont voici un bref résumé par écrit, en images et en vidéos. Il vous suffit de cliquer sur l'illustration ci-contre pour ouvrir la galerie-photos. Attention, certaines d'entre elles ne sont pas vraiment appétissantes. Âmes sensibles...

Je commence.

A ses tétines, on ne pouvait louper la vache. E-normes. De quoi renvoyer Pamela Anderson à ses opérations. D'abord tranquille, elle a fini par se contracter et haleter, les yeux exorbités. Au bout d'un moment, elle s'est relevée et s'est mise à brouter. Mais le travail a recommencé. Elle s'est recouchée au risque de faire exploser ses tétines... De façon presque inespérée, le placenta est sorti assez rapidement. Une pause à nouveau jusqu'à ce qu'apparaisse une des pattes antérieures du petit veau. La vache s'est relevée. Pas longtemps. Enfin, 2 belles et grosses pattes sont apparues, que le vacher s'est empressé d'harnacher pour les empêcher de repartir en sens inverse et pour accompagner la maman dans son travail. Le museau a commencé à pointer, à peine reconnaissable sous la gangue protectrice du placenta. La gangue s'est brisée et le museau, langue pendante, a pris son premier bol d'air. Puis, tout s'est accéléré et je garde de ces instants un souvenir confus et précipité. Une bête à première vue plus lourde que moi s'est ainsi complètement dégagée et a fini, suintante, sur la paille, un veau passablement interloqué, vigoureusement malaxé et frotté par des bêtes bizarres, sans cornes (enfin...?) et à 2 pattes. Le veau a rapidement été déplacé dans un petit espace amménagé pour lui. Il a ensuite été contraint de boire le premier lait de sa mère, mais aussi contraint pour apprendre à le faire, afin d'avoir les forces suffisantes pour tester ses 4 échasses à sabot.

Tout au long du processus, le vacher s'est volontiers appliqué m'expliquer nombre de choses pour répondre à mes questions. Il trouvait même les comparaisons les plus efficaces et rapides à ma compréhension en décrivant une espèce de liquide huileux de "crème de jour". Eclats de rire. Bref, selon lui, la naissance à laquelle j'avais assisté était tout simplement "académique".

Do, le propriétaire avait emmené avec lui une bouteille de vin chaud, pour la maman, et de la teinture d'iode, pour le petit. Au regard du vacher, mi-excédé mi-amusé en écoutant ses instructions, il était aisé de comprendre que chaque propriétaire y aller de son remède de bonne femme.

Sur le pas de la porte, j'ai encore promis à l'heureux propriétaire que je ferai un saut à l'agence pour saluer tout le monde avant de rentrer me rafraîchir. J'y ai été accueillie par des hauts cris, mon odeur âcre ne leur convenait apparemment pas. Le temps d'avaler un bol de céréales pour me rendre compte que cette odeur me serait à moi-même insupportable. Des soins adéquats s'imposaient donc. Ce que j'entrepris sans tarder et ceci jusqu'aux plus menus objets qui m'avaient accompagnés dans cette aventure!

...Bizarre de se retrouver assise entre un guichet et un écran d'ordinateur une petite heure plus tard, bien que le quotidien reprenne vite le dessus. Et ce soir, fut une soirée magnifique, une excellente fondue et une descente de pistes de ski au clair de lune, j'ose à peine vous en parler! Mais ceci pour le prochain épisode...

Ce vélage en images



N.B. Les messages de l'ancien blog (octobre 2006 à janvier 2007) sur l'ancien Immoblog
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